Bien que mal traduit ce document prouve l’authenticité de l ‘acte d’achat du corps de ferme « jouanou » qui deviendra dans le temps « lasserre »
Le sieur COUSTOURET de CAUBIOS qui voulait payer a son frère cadet ses droits de légitime, il ne trouvait point pour y parvenir, de moyens plus analogue a ses intérêts que celui de vendre une maison située dans le même lieu appelé jouannou Cette maison et ses dépendances donnent un droit institué et le pourvut devant les jurats pour obtenir la permission d’en disposer, ensuite il fit procéder aux publications accoutumées, enfin tomba d’accord avec Bernard LASSERRE du même lieu pour une somme de 600 Par acte public qui fut passé le 11 juillet 1780 concernant cette vente il fut dit que l’acheteur reçoit cette maison avec le droit de voisinage et tout autres s’y rattachant qui est déclaré dans une danse du vendeur et vers la fin de l’acte que le vendeur promet de garantir cette vente
Le 14 avril 1785
LASSERRE acquéreur dit signer aussi un acte extra judiciaire qui parait dirigé également contre les jurats et qui contient quelques conversations assez témoignables Il y déclare d’abord que les jurats se refusent a le laisser jouir du droit de voisinage, il y témoigne que c’est la un droit réel et céleste même que c’est le fondement de la réalité qu’il menace le vendeur d’une action en garantie .Ensuite et par opposition a ce long conflit , il rapporte que les jurats lui ont dit que le droit de voisinage est personnel dans le lieu qu’ainsi il faut que pour l’acquérir il paie une certaine somme et il finit par admettre comme une vérité constante la personnalité de droit On sait que de pareilles incertitudes ne concernent pas le vendeur. Dans ce cas il ne peut s’embarrasser de bien près , mais LASSERRE est revenu par une requête du mois de janvier dernier dans laquelle il a rapporté qu’il c’etait fait recevoir voisin mais qu’il lui en avait coûté 32. Il se pourvoit contre le vendeur en restitution de cette somme C’est a cette prestation que le vendeur doit se défendre, ses moyens sont bien simples et en même temps bien peremtoire Le vendeur croit sans difficultés le voisinage réel dans les campagnes et attaches aux anciennes maison d’un village, la cour le croit lui-même comme on l’a vu et ce met même que vu pareil motif quel qu’en soit l’annonce d’une notion en garantie
1780 bis jugement Il aurait pu avoir raison d’y penser si sa maison avait été de nouveau en formation et habitation, mais au tas tellement ancien qu’elle formait un tas de ruine ainsi qu’on a pu l’apercevoir par les formalités qu’il a fallu remplir pour qu’on autorise a la vendre .Or ce fait est décisif et il n’y a pas six mois que la cour a ordonné faveur semblable contestant la preuve de l’ancienneté de la maison vendue dans une affaire entre les chicanes de voisinage et le comté du même lieu On voit donc que le vendeur aurait pu garantir facilement LASSERRE a acheter ou a mieux dire vendre sa garantie très superflue, si celui-ci avait laissé le tout sans total Mais il a mieux aimé décider avec les jurats que le droit soit personnel, se faire recevoir voisins, à payer pour cela malgré différents arrêtés même de règlements différants .Pour le défendant tout est donc consommé pour son fait et il n’a plus rien a réclamer Il y a plus c’est que leur affaire suivante était encore entière, sa réclamation serait mauvaise en s’opposant avec lui le droit personnel ou même simplement mixte, en effet il est évident que le vendeur n’a voulu s’y opposer et ne vendre que ses droits réels tel quel et vient personnel, et a tout ce qui tient à l’aptitude de pouvoir remplir tout en qualité individuelle en faculté pécuniaire tout cela dépendait de la vente et ne pouvait dépendre que du vendeur CLL déclare la vente en tout que de besoin non recevable et en tous les cas mal fondée dans la vente comme se faisant elle relaxe le vendeur avantage normalement pour que au payant la cour ordonne a la partie requerrante
Fait a en le 12 mars 1887 Camgrands
Acte reconnaissant le paiement de la vente de la parcelle de terre entre yanine bascon dite yanine lavigne et lasserre
En cette décennie naîtront jean pierre lalanne en 1764? et marie bayrade en 1761
Ils fonderont la première génération à »lasserre«
Et leur fille jeanne en 1794 qui se maria avec jean laffargue né en 1787
Eux fondèrent la deuxième génération
Vie politique et événementielle du moment
LORS de l’
Achat de la maison LASSERRE dite Joanhou (1780)
par lasserre oncle
ROI de FRANCE
LOUIS XVI(royauté – monarchie)
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